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Forbes

Les législateurs de la Chambre des représentants rejettent la mesure de renouvellement de la loi FISA

Le 10 avril, les législateurs de la Chambre des représentants ont voté contre une mesure de procédure qui aurait lancé le débat sur la réautorisation de l’article 702 de la loi sur la surveillance du renseignement étranger, quelques heures après que l’ancien président Donald Trump a encouragé les législateurs à « TUER FISA ».

L’article rappelle que le « Congrès a autorisé pour la première fois la section 702 de la FISA en 2008, selon le bureau du directeur du renseignement national, dans le but de surveiller les non-citoyens en dehors des États-Unis. La loi est devenue de plus en plus controversée depuis sa création, les critiques affirmant que sa nature à large portée peut conduire à la collecte de données sur les citoyens américains, selon NBC News. Un rapport de mai 2023 de la Cour de surveillance du renseignement étranger a révélé que le FBI avait abusé de l’outil près de 300 000 fois entre 2020 et début 2021, notamment en collectant des informations sur les émeutiers du 6 janvier et les manifestants de Black Lives Matter. »

[Ajout contextuel Portail RGPD: Il y a quelques mois, la loi FISA a fait l’objet d’un renouvellement jusqu’au 19 avril 2024, qui a été l’occasion de déposer projet de réforme prévoyant de l’étendre considérablement (qui n’a finalement pas été voté).  S’il s’avérait que la loi FISA était effectivement abandonnée, il est possible que la décision d’adéquation dont bénéficie actuellement les Etats-Unis, le « Data Privacy Framework », ne soit pas une fois de plus annulé par la Cour de Justice de l’UE (dans les années qui viennent).  Reste toutefois la question de l’Executive Order 12333 n qui permet aux Etats-Unis d’accéder à toutes les données en transit vers les Etat-Unis, en particulier via les câbles sous-marins permettant de relier les différents continents. ]

Disponible (en anglais) sur: forbes.com
Cette courte introduction est susceptible d’avoir été traduite de manière automatisée.

L’Usine digitale

Le piratage de Microsoft par la Chine était “évitable”, assure un comité gouvernemental américain

Huit mois après la découverte par Microsoft d’une campagne d’espionnage visant sa solution de messagerie Exchange Online, le Cyber Safety Review Board (CSRB), comité consultatif rattaché au département de la Sécurité intérieure des États-Unis, chargé d’enquêter sur l’intrusion, a publié ses conclusions de ce rapport mandaté par le président américain Joe Biden. Dans un communiqué cinglant mis en ligne le 2 avril, le CSRB dénonce les pratiques de cybersécurité de mauvaise qualité appliquées par Microsoft. Sont notamment pointées du doigt “une série de décisions opérationnelles et stratégiques”, mettant en évidence “une culture d’entreprise qui priorisait les investissements en matière de sécurité d’entreprise et une gestion des risques, en contradiction avec le niveau de confiance que les clients accordent à l’entreprise pour protéger leurs données et opérations”. Le comité ajoute que l’intrusion du groupe de hackers était “évitable”.

Disponible sur: usine-digitale.fr

Politico

Les problèmes de TikTok aux Etats-Unis s’aggravent : la FTC pourrait également les poursuivre en justice

Selon Politico, la FTC examine les allégations selon lesquelles TikTok et sa société mère ByteDance, basée à Pékin, ont trompé leurs utilisateurs en niant que des personnes en Chine avaient accès à leurs données, et ont également violé une loi sur la protection de la vie privée des enfants, selon ces personnes, à qui l’anonymat a été accordé pour discuter d’une affaire confidentielle. L’agence, en partenariat avec le ministère de la justice, pourrait soit intenter une action en justice, soit conclure un accord avec l’entreprise, bien qu’aucun accord n’ait encore été conclu, ont déclaré ces personnes.

TikTok, que les Etats-Unis semblent actuellement vouloir bannir afin de préserver la sécurité nationale, ferait l’objet d’un examen minutieux de la part de la FTC pour ses pratiques en matière de confidentialité et de sécurité des données depuis au moins les deux dernières années. En 2019, une version précédente de l’application a réglé une affaire avec la FTC alléguant des violations de la loi sur la protection de la vie privée des enfants.

Disponible (en anglais) sur: politico.com
Cette courte introduction est susceptible d’avoir été traduite de manière automatisée.

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