Dernières actualités : données personnelles

Contrôleur européen de la protection de données (EDPS)

L’EDPS a publié aujourd’hui ses lignes directrices sur l’intelligence artificielle générative et les données à caractère personnel pour les institutions, organes et organismes de l’UE (IUE)

AI

Les lignes directrices visent à aider les IUE à se conformer aux obligations en matière de protection des données énoncées dans le règlement (UE) 2018/1725, lors de l’utilisation ou du développement d’outils d’IA générative.

Wojciech Wiewiórowski, EDPS, a déclaré : « Les lignes directrices que j’ai publiées aujourd’hui sur l’IA générative sont une première étape vers des recommandations plus étendues en réponse au paysage évolutif des outils d’IA générative, que mon équipe et moi-même continuons à suivre et à analyser de près. Nos conseils publiés aujourd’hui ont été rédigés dans le but de couvrir le plus grand nombre possible de scénarios impliquant l’utilisation de l’IA générative, afin de fournir des conseils durables aux IUE pour qu’elles puissent protéger les informations personnelles et la vie privée des individus ».

Pour garantir leur application pratique par les institutions européennes, les lignes directrices mettent l’accent sur les principes fondamentaux de la protection des données, combinés à des exemples concrets, afin d’aider à anticiper les risques, les défis et les opportunités des systèmes et outils d’IA générative. Ainsi, les lignes directrices se concentrent sur une série de sujets importants, y compris des conseils sur la façon dont les IUE peuvent déterminer si l’utilisation de tels outils implique le traitement de données individuelles ; quand effectuer une évaluation de l’impact sur la protection des données ; et d’autres recommandations essentielles.

Disponible (en anglais) sur: edps.europa.eu Les lignes directrices sont également disponibles ici.
Cette courte introduction est susceptible d’avoir été traduite de manière automatisée. Disponible sur:

GPDP (autorité italienne)

Publication en Italie d’une « note d’information » pour aider les responsables de traitement à se prémunir contre le web scraping

Quelques jours après la publication de l’avis de l’autorité néerlandaise selon lequel le scraping est presque toujours illégal, l’autorité italienne a également décidé de se saisir du sujet en publiant une note d’information « pour la défense des données à caractère personnel publiées en ligne par des entités publiques et privées en leur qualité de responsables du traitement contre le web scraping, la collecte indiscriminée de données à caractère personnel sur Internet, effectuée par des tiers dans le but d’entraîner des modèles d’intelligence artificielle générative (IAG) ». Le document tient compte des contributions reçues par l’Autorité dans le cadre de l’enquête qui a été délibérée en décembre dernier.

Dans son communiqué, l’autorité précise que « dans l’attente d’une décision, à l’issue de certaines enquêtes déjà entamées, dont celle à l’encontre d’OpenAI, sur la légalité du web scraping de données à caractère personnel effectué sur la base de l’intérêt légitime, l’autorité a jugé nécessaire de fournir à ceux qui publient des données à caractère personnel en ligne en tant que responsables du traitement des données quelques indications initiales sur la nécessité de procéder à certaines évaluations sur la nécessité d’adopter des mesures appropriées pour empêcher ou, au moins, entraver le web scraping.

Dans ce document, l’autorité suggère certaines des mesures concrètes à adopter : la création de zones réservées, accessibles uniquement sur inscription, afin de retirer les données de la disponibilité publique ; l’insertion de clauses anti-scraping dans les conditions de service des sites ; la surveillance du trafic vers les pages web afin d’identifier tout flux anormal de données entrantes et sortantes ; des interventions spécifiques sur les bots en utilisant, entre autres, les solutions technologiques mises à disposition par les mêmes sociétés responsables du web scraping (par exemple : l’intervention sur le fichier robots.txt).

Il s’agit de mesures non obligatoires que les responsables du traitement devront évaluer, sur la base du principe de responsabilité, s’il convient de mettre en œuvre pour prévenir ou atténuer, de manière sélective, les effets du web scraping, en tenant compte d’un certain nombre d’éléments : l’état de l’art technologique ; les coûts de mise en œuvre, en particulier pour les PME. »

Disponible (en italien) sur: gpdp.it
Cette courte introduction est susceptible d’avoir été traduire de manière automatisée

HAAS Avocats

La CNIL dévoile son référentiel dédié à l’IA

Par Haas Avocats

Le 8 avril 2024, la CNIL a publié ses premières recommandations concernant le développement des dispositifs, outils et applications utilisant de l’intelligence artificielle (IA)[1].

Disponible sur: haas-avocats.com

HAAS Avocats

IA garante de la cybersécurité

Par Haas Avocats

Il est commun de dire que de nombreuses analyses ont donné crédit à l’IA de faciliter et même de renforcer les différents hacks existants avant son développement.

Force est de constater que l’IA en plus de l’attaque, peut renforcer la défense cyber d’un organisme.

Disponible sur: haas-avocats.com

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